Noa's concert in Paris (France)

Singer Noa from Israel poses for photographers at the Scopus Awards of the French Friends of the Hebrew University, Sunday Jan. 23, 2011, at the Champs Elysees theater in Paris.

Dimanche 23 janvier 2011 s’est tenu au Théâtre des Champs Elysées, la 8ème édition du Gala Scopus, organisé par l’Université de Jérusalem.

Lors de cette soirée d’exception, le prix Scopus 2011, créé par l’artiste peintre et sculpteur Gérard Garouste, a été attribué à Monsieur Charles Aznavour, pour récompenser son parcours d’homme de culture mais aussi celui de militant de la cause arménienne.

Le Prix Scopus est la plus haute distinction décernée par les Associations d’Amis de l’Université de Jérusalem dans le monde. Le Prix Scopus est attribué à une personnalité engagée dans des actions éducatives, culturelles ou sociales ayant marqué la société de leur empreinte. Il représente et reflète ainsi la tradition d’excellence incarnée par l’Université. Ont ainsi été récompensés par le passé : Serge et Béate Klarsfeld, Roman Polanski – qui étaient tous trois présents à la soirée - Bernard Henri Levy, Robert Badinter, Gregory Peck, Billy Crystal ou encore Franck Sinatra.

Près de 1000 invités étaient ainsi rassemblés hier pour honorer le talentueux Charles Aznavour mais aussi pour soutenir la recherche en participant à la vente aux enchères prévues pour aider la création du Centre Edmond et Lily Safra sur le Cerveau de l’Université de Jérusalem ELSC.

Ce Gala sous l’égide de l’élégance, du partage et de l’émotion, ne pouvait rêver meilleurs ambassadeurs que Michel Drucker, Carole Rousseau, la chanteuse israélienne Noa ainsi que le chef d’orchestre de renommée internationale et violoniste Michaël Guttmanpour témoigner de leur amitié envers Charles Aznavour.

En effet, nombre de personnalités avaient fait le déplacement, de Gérard Darmon, à Bernadette Chirac en passant par Alber Elbaz, Marek Halter, Roman Polanski , Pascal Elbé ou encore Serge et Béate Klarsfeld.

L’Emotion était palpable lors de cette soirée inoubliable, notamment grâce au discours vibrant de son ami Michel Drucker. Le Gala s’est terminé en apothéose avec la reprise par Noa de l’incontournable « She ».